Clinique de la Vision La Rochelle

Foire aux questions sur les opérations aux yeux

Vous envisagez une opération chirurgicale pour corriger votre trouble visuel ? Cela soulève forcement des questions ! Toute notre équipe se tient à votre disposition pour y répondre.

Selon son problème oculaire (myopie, presbytie, cataracte, hypermétropie, kératocône), existe-t-il une solution ? Etes vous opérable ? Est ce que l’opération comporte des risques ? Est-ce que le temps de rétablissement est long ?…
Pour vous apporter dès à présent un maximum de réponses à vos questions, nous vous invitons à consulter notre FAQ ci-dessous :

Les questions fréquentes sur les opérations aux yeux

Il est souhaitable de venir sans lentilles de contact afin d’obtenir les premiers paramètres d’éligibilité qui contre-indiquent le plus fréquemment la chirurgie, c’est-à-dire la forme de la cornée ainsi que son épaisseur. D’ailleurs, afin de préparer le rendez-vous du bilan complet préopératoire (deuxième rendez-vous), il est demandé de les ôter si elles sont souples 1 à 2 semaines avant le bilan et pour les lentilles rigides 15 jours à 3 semaines.
Non, la couleur des yeux dépend de l’iris au sein duquel la chirurgie n’intervient pas.

Oui, après le premier.

Non, après le deuxième rendez-vous du bilan car un fond d’œil sera réalisé. Il sera donc préférable d’être accompagné(e).

Oui, le contraire ne serait pas normal ! L’équipe sera là pour vous aider à garder votre calme et prendra en compte votre stress avec une prise en charge rassurante tout en respectant votre rythme. Une aide médicamenteuse peut être utile en amont de la chirurgie, la veille au coucher et le matin même.

Non, pour la chirurgie cornéenne (PRK, PTK, Femto-Lasik, Smile, Presby-Lasik). Il est toutefois recommandé d’éviter les repas riches et bien arrosés la veille !

Oui, pour les chirurgies implantatoires (cataracte, mise en place d’implants phaques pour les forts myopes).

Non, il ne faut pas se maquiller, ni d’ailleurs se parfumer, afin d’éviter toutes microparticules avant la chirurgie. Cette recommandation est à respecter pendant quelques jours, afin d’éviter de se frotter les yeux.

Non, l’acte opératoire par lui-même est indolore grâce à l’instillation de collyres anesthésiants très efficaces.

Tout dépend de la technique choisie et de la sensibilité propre à chacun. Ainsi, la gêne, voire la douleur, de façon générale, apparaît quelques minutes après la fin de l’anesthésie, souvent lors de votre retour à domicile.

Concernant la PRK, la mise en place de lentilles de contact à la fin de la chirurgie permettra une forte diminution de la gêne, plus fréquente avec cette technique.

Enfin, le Femto-Lasik et le SMILE peuvent entraîner une sensation de “tempête de sable” qui disparaîtra quelques heures après l’opération avec l’aide d’antalgiques et de repos les yeux fermés pendant quelques heures.

La pratique nautique (piscine et mer) devra attendre un mois postopératoire.

Les sports qui présentent des risques de traumatisme ne pourront être repris également qu’au bout d’un mois.

Bien sûr ! Face à un doute, au stress ou à l’inquiétude, vous pourrez interroger votre chirurgien facilement en contactant la Clinique de la vision.
Les forts myopes conserveront les risques rétiniens avec possible déchirure ou décollement lié à leur forte amétropie et nécessiteront des consultations spécialisées régulières avec fond d’œil, même quelque temps après la chirurgie.

La chirurgie réfractive n’aggrave pas le risque, mais ne le supprime pas non plus. Il sera nécessaire de maintenir un suivi préventif tous les 2 ans après 45 ans, comme pour tout sujet à risque. Aujourd’hui, la prise de la pression intra-oculaire n’est plus perturbée après chirurgie cornéenne.

Il est souhaitable de se protéger, tant pour le traumatisme postopératoire proche que pour la gêne causée par la lumière (photophobie) rapidement résolutive.

Malgré tout, le port d’une protection solaire est de toute évidence préconisé après toute chirurgie comme pour tous en raison de la toxicité rétinienne.

Oui, mais la chirurgie pourrait être un prétexte à stopper la cigarette. Il faut éviter les atmosphères confinées et la fumée afin d’éviter l’agression des yeux en cours de cicatrisation, le but étant d’éviter toute irritation ou trouble de la cicatrisation.


Il est extrêmement fréquent d’avoir les yeux secs, mais ce n’est pas obligatoire. D’ailleurs, la majorité des patients candidats demandent la chirurgie pour en finir avec le syndrome de l’œil sec dû au port de lentilles essentiellement souples hydrophiles.

Un traitement substitutif est systématiquement mis en place immédiatement après l’opération. Il s’agit de collyres lubrifiants.

Le pic du manque de larmes se situe autour du troisième ou quatrième mois, imposant une visite programmée dès la chirurgie, et bien entendu dès lors que vous ressentez un inconfort.

Le film lacrymal joue un rôle majeur pour le confort anatomique de la surface oculaire d’où la sensation de corps étranger aggravée pour la vision de loin (TV, conduite automobile…) ou de près (informatique, lecture…). On peut alors avoir le blanc de l’œil rosé voire rouge.

D’autre part, le rôle du film lacrymal est prioritaire en termes de qualité de vision (75 % de la qualité d’une image observée), d’où la sensation de fluctuation visuelle au cours des mois qui suivent l’opération.

Oui, il est préférable d’éviter toute agression (eau, savon, shampoing…) afin de ne pas frotter les yeux fragilisés et d’empêcher tout risque d’inflammation ou d’infection durant quelques jours postopératoires.
Il faut différencier les métiers présentant des risques de traumatisme direct ou indirect (poussières, environnements délétères…) nécessitant quelques jours de repos, et le travail de bureau avec l’usage d’outils informatiques que l’on peut reprendre très rapidement. Mais attention à l’œil sec causé par le travail sur écran.
Non, au contraire ! La chirurgie réfractive a pour but d’améliorer votre vue, de jour comme de nuit.
Il n’y a aucun risque de perdre la vision, mais toute chirurgie comporte des risques. Le plus grand risque serait la réapparition d’une imperfection visuelle, mais qui pourrait alors être corrigée dans un deuxième temps grâce à l’utilisation d’un système de tracker extrêmement fiable.